« Pour sauver le réel de lui-même (car c’est la condition de sa persistance), nul besoin d’inventer : il suffit d’agencer autrement ses éléments les plus infimes, déplacer d’un souffle leurs points d’articulation, leurs accroches, légèrement décaler leurs mouvements et leurs traces, réagencer celles-ci en de nouveaux éléments pour le futur et la trace devient promesse, l’infime redevient nodal, les assemblages étranges revêtent une étrange évidence.»