« Dans la masse des images et des sons qui nous assiègent quotidiennement, dans le poids goudronné des offres et piaillements, le travail d’Eric Caligaris possède une puissance d’infiltration sans pareil : semblable à ces herbes qu’il a photographiées, à ces modestes repousses qui finissent par avoir raison de nos bruts matériaux (1), c’est la force discrète et humble du nouveau, les sons qui vont nous éclairer. »